0

Norml France

Association dont le but est d’informer, de soutenir les usagers du cannabis et de les orienter vers l’accès aux droits et à la santé.

bandeau santé
COEUR ROUGE.png

OU TOXIQUE ?

THÉRAPEUTIQUE

Thérapeutique, récréatif, toxique… en matière de cannabis, les avis divergent. Strictement prohibé sous forme de joint, la plante si décriée a pourtant bien plus à offrir. Fléau pour les uns, remède pour d’autres, il est parfois difficile de prendre du recul.

Tout commence par son utilisation.

 

À plusieurs formes, plusieurs usages. On peut utiliser le cannabis pour le plaisir grâce

à ses effets psychotropes. Mais ce n'est qu’un arbre qui cache une forêt de traitements médicaux. Huile de CBD, Marinol ou encore Sativex... Plusieurs patients à travers

le monde se tournent vers le chanvre au détriment des médicaments traditionnels.

Une véritable zone grise de santé publique. 

 

Avec sa stigmatisation, on en oublierait presque que la marijuana soulage les douleurs depuis des sièclesPour le comprendre, il faut d'abord s'intéresser à la composition chimique d'une plante complexe. Elle sécrète des molécules appelées cannabinoïdes. Le THC et le CBD, les plus connus et étudiés, ont chacun leurs propriétés. 

Le THC fait peur

 

Les cannabinoïdes agissent de différentes manières sur notre système nerveux

et immunitaire. Raphael Mechoulam, chimiste israélien de renom, devint un pionnier

de la scientifisation du cannabis en découvrant le tétrahydrocannabinol,

plus communément appelé THC.

 

Ce composant moléculaire est le principal responsable de l’effet de défonce qui justifie l’illégalité du cannabis. Il est tout de même autorisé en France à travers le chanvre industriel, souvent utilisé en agriculture. Possédant une teneur en THC inférieure

à 0,2%, cette version respecte la norme appliquée en France. Le chanvre à drogue, 

dont la concentration en THC varie de 15 à 20%, est en revanche strictement interdit.

Benoît Hamon

Ex-candidat malheureux aux élections présidentielles, Benoît Hamon est le fondateur de Génération.s, le mouvement. Il est favorable à une légalisation du cannabis.

 

 

Rapport de Terra Nova

Association créée en 2008 qui se présente comme un think thank progressiste et indépendant, ce laboratoire d’idées plutôt libéral est jugé politiquement proche du centre-gauche

 

 

 

 

Emmanuelle Auriol

Emmanuelle Auriol est une économiste française et professeur à Toulouse, En 2016, elle publie Pour en finir avec les mafias - Sexe, drogue et clandestins : et si on légalisait ? (Armand Colin)

 

 

Ryan Brown

PDG de Native Roots, une chaîne de “dispensaires” de cannabis récréatif et médical

au Colorado, avec environ 650 employés

et des ambitions sans limites

 

 

Du cannabis en pharmacie

 

L’industrie pharmaceutique n’aura pas tardé à flairer le filon, y compris en France. Véronique Perier, 47 ans, est invalide depuis plusieurs années. Atteinte de sclérose

en plaques, les premiers symptômes de sa maladie sont repérés en 2009. « Je souffre surtout de fatigue et de douleurs à la tête et aux pieds », déplore-t-elle. Elle évoque

des « décharges électriques » qui l’handicapent au quotidien.

Le cannabis contre la mucoviscidose

 

Jaime a un fils, Brandon, âgé de 5 ans. Atteint de mucoviscidose, il souffre

de problèmes digestifs et respiratoires. Le petit garçon a aussi beaucoup de mal

à manger des solides, sa mère le nourrit donc exclusivement de purées

et de compotes. « C’est difficile chaque jour », confie-t-elle. 

Un remède controversé que les médecins du petit Brandon n’approuvent pas.

Ils lui préconisent des pilules de Microlax qui, selon sa mère, ont pour effets secondaires de provoquer diarrhées et migraines. Très remontée contre les médecins, elle estime « qu'ils voulaient le droguer ».

 

Bien que le CBD soit légal aux États-Unis, ses médecins refusent ne serait-ce que d’évoquer la question. Une fermeture au dialogue qui désespère Jaime. Elle finit

par trouver un médecin en Californie qui accepte de traiter son fils à base de CBD.

Une libération pour la jeune mère.

Autre usage, autre débat


L’usage récréatif est un autre point fondamental à aborder dans le cadre

d’une éventuelle légalisation. Il a un impact non négligeable sur la santé publique.

La consommation de pétards est bien la plus commune dans le monde entier,

et ce quelle que soit la législation en vigueur.

Simon Anderfuhren-Biget

sociologue et collaborateur scientifique/chargé de projet au GREA, le Groupement d’étude romand sur les addictions en Suisse, il est également chercheur associé à l'Institut de Recherches Sociologiques de l’Université de Genève

Cannabis et tabac : même combat ?

 

Le pneumologue Bertrand Dautzenberg, très attaché à la lutte contre le tabac,

soulève le problème. Plusieurs études ont révélé que la fumée émise par un joint

de cannabis contient jusqu’à sept fois plus de substances nocives que celle d’une cigarette. Sa fumée peut entraîner d’importants problèmes de santé. Encore plus lorsque les joints sont consommés sans filtres - souvent utilisé, le carton n'en est pas un - et avec du tabac. Leur illégalité limite les études et complexifie la recherche.

 

Fort heureusement, le cannabis peut aussi être consommé de différentes façons,

qui n’impliquent pas de combustion. Moins répandus, la vaporisation ou encore l’ingestion de cannabis épargnent l’usager des effets nuisibles sur les voies respiratoires. 

Elles n'en sont pas pour autant totalement inoffensives pour l’organisme.

Les dangers du cannabis ne se trouvent pas uniquement dans la façon dont

on le consomme. Ils sont dans la plante elle-même. Il est reconnu que le produit

perturbe le système nerveux central, impliquant des risques psychiatriques allant

de la dépendance, la schizophrénie aux troubles de la mémoire. Ces risques

sont particulièrement importants chez les plus jeunes, qui représentent un nombre important de consommateurs.

 

L’effet de la consommation sur la vision à travers la rétine, et par continuité sur

le cerveau, était au coeur de l’étude CAUSA MAP. Pour le mesurer, les chercheurs ont comparé des usagers quotidiens de cannabis à des individus sains.

Le psychiatre Thomas Shwitzer décrit des premiers résultats saisissants.

25046315307_e423fbb323_k.jpg

Le CBD rassure

 

Le CBD ou cannabidiol est le second cannabinoïde majeur. Découvert dès 1940 par une équipe de chimistes de l'Université de l'Illinois, il était alors catégrosié comme toxique. C'est encore une fois Raphaël mechoulam qui découvrira sa structure complète, et ses propriétés thérapeutiques seront étudiées dans les années 1970. Un comité d’experts de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a récemment conclu que « le CBD ne semble pas présenter de potentiel d’abus, ni être nocif pour la santé ». Bien que cet organisme de l’ONU se refuse à prôner son utilisation à des fins médicales, il laisse libre choix aux législateurs nationaux.

En France, les liquides de vapotage à base de CBD sont autorisés dès lors que leur taux de THC ne dépasse pas 0,2%. Ces « joints électroniques » tels qu’ils sont décrits

dans les médias, sont sur le marché français depuis trois ans selon Norml.

« Le CBD ne semble pas présenter de potentiel d’abus, ni être nocif pour la santé »

 

                                                                                                - OMS

nzywhti5_400x400.jpg

Certaines personnes se tournent en revanche vers le joint, le vrai - composé majoritairement de THC - pour réduire leurs douleurs. Une pratique interdite en France. J-B est de ceux-là. Adhérent de l’Union francophone pour les cannabinoïdes

en médecine (UFCM), il consomme régulièrement depuis plusieurs années.

En soignant ses migraines de cette manière, il découvre les propriétés thérapeutiques de la plante et s’engage pour qu'elle soit reconnue comme véritable traitement.

Il témoigne anonymement.

ANSM

Etablissement public dépendant

du ministère de la santé.

Il garantit la sécurité et la viabilité des médicaments et des dispositifs médicaux en circulation sur

le territoire. 

logo-ansm.png

Le Sativex quand à lui est un spray buccal à base de THC et de CBD.

Autorisé sur ordonnance pour les malades de la sclérose en plaques depuis 2014; 

Véronique déplore le fait qu’il ne soit toujours pas commercialisé à l’heure actuelle. Faute de médicaments efficaces comme le Neurotin, le Lyrica ou encore le Sifrol,

son neurologue et son docteur lui ont administré du Marinol.

 

Sans aucun à priori, elle l’utilise pendant deux ans. Elle constate alors une « diminution des spasmes sans effets secondaires ». Une accoutumance toute relative, puisqu’elle finira par arrêter le traitement qui « ne faisait plus son effet ». Notons d'ailleurs la possibilité non négligeable d'un effet placebo (ressenti bénéfique d'un traitement 

lié au fait de croire à son efficacité).

 

Elle est depuis passée à l’Anafranil, un médicament plus traditionnel dont

les effets secondaires comprennent fréquemment somnolences, nausées ou encore constipations. Bien qu’elle ne recommande pas expressément les cannabinoïdes car « chaque patient réagit différemment », elle souhaiterait ardemment pouvoir tester

le Sativex. Une volonté qui risque bien de durer, tant la situation est compliquée.

Cap vers l’Amérique


Outre-Atlantique, le cannabis gagne du terrain. Avec 28 états l’ayant légalisé

sous forme récréative et/ou médicinale, on pourrait s’imaginer que l’herbe

y est plus verte. Pourtant, la weed reste un sujet clivant, même au Colorado.

Jaime Scott est une vétérane américaine de l’US Army qui vit à Colorado Springs.

 

Depuis l’amendement 64 plébiscité par un vote populaire en 2014, le cannabis

y est autorisé à usage médical et récréatif. Il est traité sur le même modèle que l’alcool. Jaime voudrait d’ailleurs se lancer dans le business florissant de la weed

Bien qu’il soit légalisé dans son État, la quadragénaire déplore une stigmatisation importante du cannabis dans sa ville, « l’une des plus conservatrices des États-Unis ».

Atteinte d’achalasie, une maladie très rare de l’oesophage, elle souffre de migraines

et de fortes difficultés à avaler. Des symptômes contraignants, qui la poussent

à consommer du cannabis depuis neuf ans pour réduire leur intensité. La weed  l’aide, entre autres, à relâcher son sphincter.

 

Avant la légalisation, ses docteurs lui prescrivaient un traitement plus conventionnel

à base de pilules à avaler : « Ça n’avait aucun sen», déplore-t-elle. Elle se tourna 

alors vers la marijuana et s’aperçut que ses migraines disparaissaient progressivement. « J’avais peur d’être attrapée et d’aller en prison… Les gens veulent que vous ayez honte. On se sent comme un criminel ».  Un fardeau qui ne l'empêchera pas de continuer

à fumer clandestinement.

4591110454_244b3b57d1_o.jpg

« J’avais peur d’être attrapée et d’aller en prison… Les gens veulent que vous ayez honte. On se sent comme un criminel »

                                                                                             - Jaime Scott

En 2016, la France rassemblait plus de 5 millions de consommateurs, d’après l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT). Sur cette même année,

ils ont été 1,4 million à avoir fumé du cannabis au moins dix fois par mois. Des chiffres

qui placent l’Hexagone en tête de la consommation européenne. Il est pourtant strictement illégal d'en fumer chez nous : un paradoxe bien français. Qu’ils soient

ou non dans leur droit, les usagers sont nombreux à voir leur santé affectée. Il faut agir. 

Pourquoi consomme-t-on ?

 

Avant de devenir addict, chacun franchit le cap pour la première fois.

La dépendance est-elle un facteur social ou intrinsèque à la plante ?

Trois chercheurs du CHRU et du Centre psychothérapique de Nancy ont mené l’étude CAUSA MAP pour tenter d'y répondre. Ils explorent les effets

de la consommation de joints sur notre cerveau.

Pour le psychiatre Vincent Laprévote« la vraie question n'est pas tant de savoir comment on commence à consommer mais comment se fait-il que l'on continue ».

Les chercheurs ont d'abord pour but de mesurer précisément les impacts du cannabis sur notre santé, et ils sont nombreux.

Le cannabis agit sur notre santé

 

Malgré son caractère illégal dans une majorité de pays, la recherche avance à petits pas pour mesurer les réels effets du cannabis sur la santé. Consommé de façon récréative, il présente des points communs avec toutes les substances psychoactives.

 

Fumer du cannabis a de multiples effets bien réels sur la santé, parmi lesquels

la baisse de la vigilance, le ralentissement des réflexes ou encore l’apparition

de troubles mentaux (passagers ou durables) comme l’anxiété. Détracteurs

ou défenseurs, tous le comparent volontiers au tabac.

 

Deux drogues, souvent consommées de la même manière : par combustion

et inhalation de fumée. Cigarette industrielle ou joint de cannabis, la fumée contient toujours goudrons, monoxyde de carbone et autres composés cancérogènes comme

le benzène. Les dangers du tabac sont aujourd'hui de notoriété publique. 

debout fumée gauche.jpg

« On rencontre des adultes qui ne fument que de l'herbe et qui souffrent de graves maladies respiratoires ou de cancers du poumon »

                                                                                                      - Bertrand Dautzenberg

Fumer ou conduire ? Il faut choisir 

 

« Dix millisecondes, au niveau du fonctionnement neuronal, c’est énorme », nous rappelle le professeur Raymund Schwan. Une découverte qui pose un sérieux problème de sécurité routière. En 2011, 455 accidents mortels ont impliqué au moins un conducteur, contrôlé positif au cannabis.

 

Plus récemment, parmi les 3 461 personnes ayant trouvé la mort sur les routes

en 2015, 23% d’entre elles sont décédées dans un accident impliquant au moins

un conducteur contrôlé positif aux stupéfiants. Des chiffres graves de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR). Même s'ils restent inférieurs

à ceux liés à l'alcool, l’impact néfaste du cannabis sur les routes n’est plus à prouver.

Alors, pour ou contre ?

 

Fumer un pétard peut au premier abord sembler amusant mais n'a rien d'anodin,

tant sur l’organisme que sur le comportement. La légalisation a de quoi inquiéter.

Mais les chercheurs tempèrent, il n’y a pas de réponse toute faite. 

 

Microbilles de verre, colle, cire… Au-delà des impacts négatifs de certaines molécules naturelles du cannabis, la drogue achetée sur le marché noir est bien pire. Susceptible d’avoir été « coupée » avec des composés plus nocifs encore,

la résine de cannabis, souvent appelée haschich ou shit, constitue un danger

de santé publique nettement plus préoccupant.

 

En ce sens, la légalisation permettrait de contrôler et vérifier la qualité du produit, comme le sont déjà nos cigarettes et nos bouteilles d’alcool. Le seul véritable point noir que l’on pourrait craindre suite à une légalisation, serait donc une hausse

du nombre d’usagers. Mais est-ce le cas ailleurs ?

Aller voir ailleurs... ou pas 


Cette inquiétude est légitime quand on sait que la France concentre un grand nombre

de consommateurs. Mais si l'on étudie de près les effets de la légalisation à l’étranger,

le phénomène ne se vérifie pas toujours.

 

Le rapport Canalex a comparé la consommation entre les États des États-Unis,

après légalisation. Elle a par exemple augmenté au Colorado (chez les plus de 25 ans), mais est restée stable dans l’État de Washington. Autre problème et non des moindres, il semblerait que les risques liés au cannabis y soient sous-estimés.

Un défaut de prévention qui doit être pris en compte. 

 

Légalisation pourrait aussi rimer avec fin de la répression.

Le coût important de cette dernière, combiné aux taxes de l’État sur la vente de cannabis légal, pourrait financer des campagnes de prévention. Mais là encore,

cela relève du domaine de l’hypothèse. Il est difficile d'anticiper où ces économies iront.

 

Un changement de législation pourrait enfin offrir davantage de moyens à la recherche scientifique et une meilleure compréhension de la plante. C'est absolument essentiel pour pouvoir aller plus loin. Légalisation ou non, une chose est sûre : 

La répression est un échec que la France ne pourra cautionner éternellement. 

Si l’on considère toutes les perspectives, les craintes liées à un éventuel changement

de législation du cannabis sont justifiées mais pas sufisamment face au chaos actuel.

Dans le débat, il faut bien garder en tête la distinction entre l’usage récréatif et médical.

 

Pour le premier, face à l’inefficacité de la répression, la légalisation apparaît comme une option,

à condition d’assurer la prévention et la pédagogie notamment à l'attention des jeunes.

Une condition si nae quo non tout de même : limiter la hausse de la consommation.

 

Pour le second, l'immobilisme prive des patients d’un traitement qui pourrait leur convenir.

CBD, Marinol, Sativex… Le cannabis médical souffre de son image. 

Le professeur Raymund Schwan est pourtant catégorique : « Cela devrait rester un sujet purement médical et pas du tout une question de société ».

Jaime Scott

Vétérane américaine de l’US army, elle soigne une maladie nommée achalasie, à l’aide de cannabis. Elle soigne aussi son jeune garçon atteint de mucoviscidose avec de l’huile de CBD.

SANTE4.png
SANTE4.png

Une autorisation qui n’aura pas empêché les deux créateurs français de Kanavape,

un liquide de vapotage au CBD, d’être condamnés à 15 et 18 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Marseille. Une condamnation motivée par la promotion des effets thérapeutiques du cannabis, considéré comme un stupéfiant. Le flou juridique interroge de plus en plus.

Faute de traitement efficace, elle administre un groupe Facebook favorable au Marinol

et au Sativex. Ces deux produits pharmaceutiques à base de cannabis sont légaux 

mais posent problème. Autorisé au début des années 2000, le Marinol est pourtant

très peu utilisé, dû à une procédure au cas par cas des médecins à l’Agence nationale

de sécurité du médicament (ANSM). Ces derniers engagent leur responsabilité en cas

de soucis, ce qui limite fortement les demandes. 

Afin de l’aider, Jaime lui administre de petites doses d’huile de CBD au quotidien.

Elle tient à souligner qu’elle lui administre uniquement du CBD et non du THC.

Cette huile miraculeuse  permettrait de réduire la douleur de ses inflammations qui l’empêchent d’avoir un quelconque appétit. « J’utilise ce médicament pour trois petites choses du quotidien, très précieuses pour les malades atteints de mucoviscidose :

Lui donner de l’appétit, réduire la douleur et lui faciliter la digestion ».

 

 

ROMAINTHCCBD_New_Max600x500.png
CONSO_New_Max700x550.png

OFDT

Groupement d’intérêt public dont la recherche s’intéresse aux drogues et aux addictions via un dispositif d’observation et d’enquête.

logo_ofdt_sansweb1.jpg

ONISR

Observatoire directement placé auprès du délégué interministériel à la sécurité routière. Il s'appuie sur le travail des forces de l'ordre, des observatoires de la sécurité routière.

onisr-1.jpg
méthodes conso légende.png

Vincent Laprévote

Psychiatre au Centre psychothérapique de Nancy

SANTE2.png

Raymund Schwan

Professeur de psychiatrie, chef de pôle hospitalo-universitaire du Grand Nancy, médecin-chef de la Maison des addictions du CHRU de Nancy

SANTE1.png

Thomas Schwitzer

Psychiatre au Centre Psychothérapique de Nancy

SANTE3.png

Émanations de fumée, CC-BY Centophobia

Cigarette électronique au CBD, CC-BY WeedPornDaily

Couloir d'une prison, CC-BY 826 PARANORMAL

Un joint de cannabis, DR

Copy of Copy of Calque 12 copie.png

OMS

Institution de  l'Organisation des Nations unies (ONU), spécialisée dans la santé publique créée en 1948. Elle a pour objectif d'améliorer la santé de tous les peuples.

logo_oms_220.png
logo_oms_220.png
TASK BAR NEWCRED.png
BARRE FIN copie 2.png
Copy of BOUTON_GRIS.png

            RÉPRESSION,             SEULE SOLUTION ?

      >

BOUTON VERT NEW.png

<                 ACCUEIL